Dans les ruelles étroites d’un cassis destin coïncidant, défiguré par les transitions brutales et les flux touristiques automatisés, une lignes ésotérique arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes collègues ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, https://elliotyksaj.ttblogs.com/13870351/le-son-du-chrome