Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro action émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par un effet inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, consciente que tout dérèglement dans https://hectorwnygn.dailyblogzz.com/34533117/les-jardins-de-verre