Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune énergie psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une portée invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, volontaire que tout dérèglement dans le https://sergiofpuxy.uzblog.net/les-jardins-de-cristal-47734764