Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son automatisme, attendait que l’obsidienne parle à naissant. La gemme black semblait absorber la clarté sélénien, vibrer par-dessous la pression du vent, et même, sans avertir, elle résonnait de cette voix ancienne https://zionjwfko.livebloggs.com/40289604/les-empreintes-effacées