La nuit s’étendait sur le désert de façon identique à un étoffe d’encre, plongeant les sables dans un silence oppressant. L’archéologue observait le sablier posé destinées à lui, immensément intact, extrêmement mystérieux. Il n’avait pas bougé pendant la première image, mais une anxiété sourde s’était installée en lui. Chaque grain https://martinthrxd.rimmablog.com/33012778/le-sablier-du-fleuve-sans-retour