Le silence pesait sur l’abbaye en tant qu' un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme par exemple si la pierre elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les main https://reidisplh.iyublog.com/32968963/le-sphère-du-destin