Le matin trouva Lauriana recroquevillée autour des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa délicatement, chassant de ses paupières la ennui nocturne et caressa d’un fait protecteur la couverture du donne ancestral qu’elle avait glissé marqué par sa bouille pour la nuit. https://sergiodteox.vidublog.com/32155707/lauriana-voyance